Au travers de rencontres, d’amitiés et parfois de disparitions, Jean Lavoué relate avec une très grande sensibilité les moments forts de la vie. Plus qu’une biographie spirituelle, l’auteur nous livre un journal sans dates ni lieux de ses rencontres qui lui ont permis d’affronter les passages douloureux de la vie. Pour mettre en lumière ce témoignage, de nombreuses sources d’inspiration tels Georges Perros, Charles Juliet ou encore Edith Stein, donnent à ce livre un relief unique.
Une biographie spirituelle. C’est le terme qui qualifie le mieux l’attachant ouvrage d Morbihannais Jean Lavoué. Biographie parce qu’il nous livre, par bribes, quelques instants fondateurs de son existence, le plus souvent lié à la découverte d’un écrivain. Spirituelle, parce que Jean Lavoué est, imprégné du message évangélique, en homme attentif à la Parole et au souffle de Dieu dans nos vies.
Ouest France, 21 septembre 2005
Dans l’avant propos, l’auteur présente ainsi: « Ces pages arrachées d’un journal intérieur, sans date… Petits instantanés de soleil, saisis par un passant » – et aussi évocation de la rencontre d’amis écrivains, vivants ou par deà la tombe toujours présents. Ils ont tous malgré leurs différences un air de famille. Ce livre leur rend un bel hommage.
Eglise en Ille-et-Vilaine, #83, 21 novembre 2005
Jean Lavoué est habité par une flamme intérieure, exigeante et discrète. Les textes qui composent Dans l’éclat de l’instant brûlent de cette flamme.
Ouest France, 30 janvier 2006
Poète, essayiste, Jean Lavoué fait partie des très bons écrivains de Bretagne. Ce qu’il nous propose à travers ce bref ouvrage, ce sont des pages de son journal intérieur: les rencontres qui ont compté (Xavier Grall, Jean Sulivan, Gilles Baudry, Henri Le Saux…) et qui ont constitué autant de pépites de lumières dans sa vie. A côté de ses phares, prennent place les expériences personnelles de Jean Lavoué: l’écriture, la poésie, la foi, le silence surtout.
Le Télégramme Dimanche, 22 janvier 2006
Cette quête confère à ces pages une dimension spirituelle forte qui se déploie dans la seconde partie, où Jean Lavoué s’interroge sur son art poétique, où il relit et relie les signes qui accompagnent un départ, un chemin spirituel, comme autant de « soleils », et proclame face aux blessures insondables de la vie sa foi dans le Transfiguré.
Christus, #209, janvier 2006
