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Qohélet est l’un des plus mystérieux livres de l’Ancien Testament. Aucun consensus ne circule au sein des chercheurs quant au statut et à la visée d’un écrit que certains trouvent profondément pessimiste et teinté d’athéisme. Pour le théologien Marc Faessler, la portée de ce grand texte est tout autre. Il s’agit d’un écrit philosophique du IIIe siècle avant Jésus-Christ, au carrefour du judaïsme, de l’hellénisme et de courants de pensée venus d’Asie, dans lequel apparaissent en contraste les thèmes de l’éphémère et de la joie. L’auteur nous invite à soupeser ses découvertes en suivant son interprétation mot à mot de l’entier du texte dont on trouve en fin de volume une traduction nouvelle appuyée sur ses hypothèses. « Vanité des vanités, tout est vanité », la célèbre formule inaugurant l’écrit trouve par exemple une nouvelle dynamique avec Marc Faessler qui propose de lire plutôt, à partir de l’hébreu : « Buée de buées, tout n’est qu’évanescente buée ! »
« Reprenant la traduction du texte hébreu, il en tire un très bel enseignement pour réinvestir notre quotidien qui n’a pas à être frappé du désespoir, mais qui doit être disponible aux dons de Dieu: c’est là la responsabilité de l’homme. »
Evangile & Liberté, avril 2014
« Un ouvrage remarquable, où Marc Faessler chemine avec le lecteur, approfondissant le sens de chaque mot. Il nous propose une traduction personnelle qui dépoussière certains termes. »
Choisir 649, janvier 2014
« Le livre de Marc Faessler lance un pont essentiel entre Bible et philosophie, judaïsme et pensée grecque, Orient et Occident. C’est dire que son entreprise concerne le cur des relations entre judaïsme et christianisme, pour autant que ni l’une ni l’autre ne sont réductibles à une prétendue culture « judéo-chrétienne ». »
Foi & Vie 4, décembre 2013
« Un commentaire stimulant, qui devra être lu part tous les exégètes intéressés à percer l’énigme du livre de Qohélet. »
Science et Esprit 66/1, 2014
« Marc Faessler, pasteur et théologien, s’est penché sur ce grand texte philosophique et livre à son lecteur, outre une nouvelle traduction, un commentaire novateur qui ne peut manquer de passionner les amateurs de philosophie ancienne. »
Missions (Defap), juillet-août 2013
« On sait que l’ensemble du livre du Qohélet est à première vue très pessimiste. Marc Faessler n’atténue pas le regard critique porté sur presque toutes choses, mais il essaye de voir au-delà et montre que, de façon parfois voilée mais souvent explicite, c’est à la joie qu’invite le texte. »
Réforme, juillet 2013
« L’ouvrage devra faire partie des titres de référence consultés par le groupe biblique qui aurait mis à son programme le livre de l’Ecclésiaste. »
LibreSens, mai-juin 2013
« Bien qu’il parle au cur des hommes depuis plus de deux millénaires, le sage Qohélet n’a pas encore dit son dernier mot, comme le montre avec brio Marc Faessler, laissant à chaque génération la joie et le soin de s’en réapproprier le sens de manière toujours renouvelée, jamais épuisée. »
La vie protestante NE/BE/JU, mai 2013
