«La poésie est pour moi une langue première, celle de l’enfance qui savait. Dans mes poèmes, j’essaie de dire la certitude qui était celle de Jacob après son rêve de l’échelle touchant au ciel: « C’est ici la porte des cieux »… Ou bien, encore, l’émerveillement des pèlerins d’Emmaüs: « Leurs yeux s’ouvrirent et ils Le reconnurent. » Si j’ai longtemps écrit pour survivre à l’angoisse de vivre et pour exorciser la mort, l’heure est venue, pour moi, après tant de morts et tant de naissances, d’écrire un poème nouveau racontant une naissance extraordinaire: celle de la Joie qui demeure…»
Dieu de toute consolation (épuisé)
0.00 CHFParoles d’édification et de consolation pour chaque jour