Nous croyons qu’il faut lire ces lettres comme un tout, sans arracher ces paroles à leur contexte, en étant attentif à l’irruption, dans une existence extérieurement petite-bourgeoise, au milieu de multiples contradictions et hésitations, de la flamme visionnaire qui embrase toute la réalité. Même si Blumhardt n’est pas toujours « à sa propre hauteur», même si après sa maladie il y a un certain repli, facilement décelable à partir de la lettre 75, il vaut la peine de poursuivre jusqu’au bout la lecture de ces textes singuliers.


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Le libérateur des peuples
Lettres à un missionnaire en Chine (1898-1914)