Dans cet essai, Rémy Hebding établit un état sans concessions des lieux du siècle où l’espérance se dénature: les projets révolutionnaires confisqués par le pouvoir, la fascination pour l’information sans recul, le malaise des religions historiques incapables de trouver l’équilibre entre tradition et anticipation.
Mais à toute chose malheur est bon. Rémy Hebding voit au cœur de la désillusion générale le ferment d’une nouvelle espérance, fidèle en cela à ce que promet la foi chrétienne.