Dans la vie, les occasions de courir sont nombreuses: on peut courir pour le plaisir ou pour la gloire, mais aussi pour fuir, poursuivre, s’évader. On peut courir en stade, en forêt, dans les rues des villes et même dans les cimetières!
Roman, récit, mémoire, théâtre, poésie: autant de genres littéraires qu’explore ce choix de textes, du plus drôle au plus tragique, de la farce à l’introspection. Les amoureux de la littérature et les adeptes de la course à pied qui sont aujourd’hui si nombreux trouveront ici l’écho de leurs expériences et de leurs émotions.
Un ouvrage à lire selon son rythme, à fond de train et d’une traite pour les plus pressés ou par petites étapes, en foulées économes pour les flâneurs.
Cet ouvrage est préfacé par Daniel de Roulet.
La course devient ainsi épique, drôle, amoureuse, olympique, etc. Dans la foulée, chacun s’il le veut peut sauter le pas et courir de livre en livre, ou courir tout court. Vif, original et stimulant.
Le Courrier, 10 juin 2006
Les adeptes de la course à pied et les passionnés de littérature trouveront dans cet ouvrage l’écho de leurs expérienceset de leurs émotions.
Les Dépêches Le Progrès Ed. Jura, 15 avril 2006
…ce recueil en forme d’abécédaire vous fera courir d’un bout à l’autre de ce que la course a de commun avec la littérature. (…) Son anthologie est à lire à fond de train pour les pressés ou étape par étape pour les flâneurs.
L’Hebdo guide pratique du Salon du Livre de Genève, avril-mai 2006
La course en tête propose une bonne trentaine de textes – d’Homère à Georges Perec en passant par Jean-Jacques Rousseau mais aussi par des auteurs moins célèbres – classés comme un abécédaire d’amoureuse à zatopékienne en passant par olympique. Dont une perle de Raymond Queneau, intitulée Destin du sportif. Et quelques jolis passages venus de journalistes sportifs.
Le Temps, 29 avril 2006
Surtout, Daniel de Roulet souligne l’importance de ce livre pour réparer plusieurs siècles d’injustice. Après les récits épiques d’Homère ou Ovide, la course à pied n’a, en effet, que peu intéressé les hommes de lettres qui, lorsqu’ils ne l’ignorèrent pas, affichèrent souvent un profond dédain à l’égard d’une activité jugée peu noble.(…) Pour recueillir un vaste corpus de textes sur le sujet, Jacques Geoffroy avoue « deux années de flâneries dans les rayons des biliothèques. »
Voix du Jura, #3212, 15 juin 2006